Adopter une attitude constructive Tutoriels

Découvrez comment adopter une attitude constructive dans votre milieu de travail pour améliorer la coopération et surmonter les conflits. Cette vidéo explore les freins à éviter comme la critique et la justification, tout en proposant des leviers pratiques. Avec "adopter une attitude constructive", apprenez à transformer les obstacles en opportunités. Ne manquez pas ces conseils inspirants sur l'affirmation de soi et le courage!

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pour faciliter la coopération au travail

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et gérer avec aisance différents et conflits.

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Nous allons voir les trois freins à éviter et les quatre

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bonnes pratiques à entretenir.

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Les trois freins à l'attitude constructive sont la critique,

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la confirmation et la justification.

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La critique est notre tendance naturelle à nous opposer

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au.de vue de l'autre lorsqu'il est différent d'une autre.

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quel est l'un des premiers mots que dit l'enfant?

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Non,

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arrivés à l'âge adulte,

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nous gardons souvent l'automatisme de nous opposer.

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A peine l'autre a-t-il annoncé une opinion différente de

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celle à laquelle nous croyons que nous cherchons à démontrer

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et à prouver qu'il a tort et que nous avons raison.

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C'est un jeu inconscient de de territoire qui ralentit la collaboration,

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nourrit la

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la rivalité et attise le conflit.

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à force d'être critique et de ne voir que

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le négatif dans l'argumentaire et les actions de l'autre,

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nous générons conflit ou silence.

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Bref,

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la communication est en péril.

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Sortir de la critique,

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c'est d'abord

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accueillir avec curiosité et ouverture les opinions de l'autre,

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puis donner son avis de manière positive et constructive.

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sortie de la critique,

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c'est toujours apporter d'autres solutions,

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option alternatives lorsqu'une proposition ne nous convient pas,

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ce qu'on appelle dans le bon sens du terme la critique constructive.

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si une critique ne s'accompagne pas de propositions,

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elle a un intérêt très limité.

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C'est l'ego qui s'exprime.

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Mieux vaut laisser la place à la créativité

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qu'à l'égo en nous.

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J'entends par ailleurs très souvent des coachers qui soupirent,

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démotivés,

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me disant que leur chef se fait entendre quand cela va mal,

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ils critiquent mais n'exprime jamais sa satisfaction,

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ne donne jamais de feedback positif.

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je comprends leur découragement et les invite à

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demander simplement du feedback à leur chef.

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et puis je les questionne sur la critique qu'ils viennent d'émettre

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à l'égard de leur chef et vous

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jugez-vous utile de donner des feedbacks positifs à vos collègues,

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vos clients,

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voir votre hiérarchie.

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Oui,

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le feedback positif n'est pas réservé aux managers.

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Pour conclure,

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deux solutions pour sortir de la critique,

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valoriser ce qui est,

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valoriser les autres

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et proposer,

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apporter des alternatives constructives.

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voyons maintenant le deuxième frein à l'attitude constructive,

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la confirmation.

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la confirmation et la tendance naturelle que nous avons à ne retenir de

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ce que nous dit l'autre que ce qui va dans notre sens.

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C'est tellement rassurant de s'entourer de personnes qui partagent nos idées.

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Nous disons oui,

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il a raison,

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ce qui signifie tout simplement

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il a raison

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parce qu'il pense comme moi.

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Nous disons

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Céline est intelligente,

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ce qui signifie Céline est intelligente parce qu'elle a les mêmes idées que moi.

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nous avons besoin de nous sentir confortés par des

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gens qui pensent comme nous et du coup,

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nous nous fermons à à la nouveauté,

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à ce qui nous dérange.

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Prenons pour exemple un manager qui arrive avec

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son idée sur la solution à un problème.

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J'ai la solution,

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il faut changer le process.

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Il demande leur avis aux collaborateurs et aura tendance à ne

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retenir et ne valoriser que ceux qui pensent comme lui.

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Hélas,

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nous nous sentons souvent attaqués par ce qui s'oppose à notre.de vue,

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particulièrement s'ils le font avec agressivité.

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Nous prenons personnellement l'attaque et nous fermons à

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leurs arguments qui sont peut-être de grande valeur.

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Oui,

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la plupart du temps,

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nous préférons la compagnie de ceux qui pensent comme nous.

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Dans cette recherche de confirmation sur ce que nous croyons,

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nous risquons de passer à côté d'excellentes idées balayées d'un oui,

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mais ça n'est pas possible parce que trois petits points.

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Voici les deux solutions pour sortir du piège de la confirmation,

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s'ouvrir

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à l'autre

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avec de la sincère curiosité pour sa différence

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et s'enrichir de ses perceptions de ses idées.

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Prévert,

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Jacques Prévert a dit une chose magnifique à ce propos.

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cet homme avait une idée.

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c'était une idée fixe.

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il s'étonnait de ne pas avancer.

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Le troisième frein à l'attitude constructive

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est la justification

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qu'est-ce que la justification,

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c'est notre tendance naturelle à nous défendre par anticipation

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d'une éventuelle attaque.

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Nous avons tellement peur d'être jugés que nous préférons

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redorer notre image au cas où nous

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nous disons si l'autre sait que j'ai des excuses,

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il va moins m'en vouloir.

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Nous affirmons

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oui,

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mais vous comprenez,

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c'est parce que

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vous pouvez ainsi vous retrouver face à un collègue

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qui passe plus de temps à se justifier de n'avoir pas atteint ses

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objectifs qu'à proposer une manière de rattraper le retard dont vous pâtissez.

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Imaginez un instant que

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vous arrivez en retard à une réunion

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et que vous commencez à raconter à tout le monde qu'il y

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avait des bouchons et puis que la salle était mal indiquée et que

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qui s'excuse,

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s'accuse,

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dit l'adage.

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Il y a une différence entre se justifier

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et s'expliquer.

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lorsque je me justifie,

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je suis centrée sur moi,

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sur mon image,

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lorsque je donne des explications je suis centrée sur l'autre et sur son besoin.

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Les autres ont-ils besoin

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de savoir pourquoi je suis en retard?

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les explications seront mieux entendues et plus utiles si j'attends que l'autre

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pose la question

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s'il me demande mais qu'est-ce qui s'est passé,

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pourquoi es-tu en retard

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ou bien

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pourquoi n'as-tu pas atteint tes objectifs,

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c'est qu'il sera prêt à entendre mes explications.

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Les deux solutions pour sortir de la justification.

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attendre la question,

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que l'autre soit curieux et prêt à vous écouter

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et assumer,

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assumer vos actions et vos erreurs sans chercher à redorer votre image.

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Nous avons donc vu les trois freins à l'attitude constructive,

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critique,

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confirmation,

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justification.

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Observons maintenant les quatre leviers.

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de l'attitude constructive.

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Un

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transformer les six

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en commun.

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D,

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sortir de l'orientation passée

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vers le futur.

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trois

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proposer plutôt que critiquer

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afin d'être le magicien qui rend possible ce qui paraissait impossible.

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Donc le premier levier consiste à transformer les si en commun.

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Au lieu de dire ce serait plus facile si on avait plus de temps,

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si on avait plus de ressources,

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si on avait plus de soutien,

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d'écoute,

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on attend de vous que vous disiez comment allons-nous faire

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au mieux dans le temps imparti avec les ressources imparties.

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premier levier,

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transformer les si en comment,

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comment allons-nous faire pour

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le deuxième levier,

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nous l'avons déjà abordé,

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il s'agit de transformer la critique en force de proposition.

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au lieu de dire à votre collaborateur ou au chef,

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je ne comprends rien à ce que tu me dis,

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pouvoir lui exprimer,

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j'ai besoin que tu me clarifies tel point,

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au lieu de dire on n'a pas réussi parce que ou ça

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ne marchera pas parce que pouvoir dire voilà ce que je propose,

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voilà comment on pourrait faire,

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voilà ce qu'on va tenter et tester.

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Le troisième levier consiste à changer d'orientation du passé vers le futur.

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Au lieu d'être focalisé sur le passé,

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aidez vos collègues et clients à se focaliser sur l'avenir.

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Analyser le passé nous aide à capitaliser

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pour reproduire ce qui a marché et changer ce qui n'a pas fonctionné.

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Rester bloqué à ressasser le passé est une perte de temps et d'énergie.

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Le collaborateur positif doit aider ses collègues à sortir de

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c'était mieux avant ou de ça n'a pas marché avant,

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donc ça ne pourra pas marcher pour parler de demain.

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En fait,

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un employé constructif est capable de transformer les

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impossibles en possible.

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Connaissez-vous le 3000 mètres steeple?

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c'est un parcours de saut d'obstacles.

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Derrière un des obstacles se trouve une fosse d'eau

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qui au mieux ralentit le coureur au pire le fait trébucher.

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savez-vous ce que font les meilleurs,

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ils s'appuient sur l'obstacle pour aller plus loin.

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votre obstacle

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est un manque de ressources,

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un collègue difficile,

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un client insatisfait.

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Bref,

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des occasions pour vous de grandir dans votre fonction

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en ne baissant pas les bras face à l'obstacle,

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mais en vous appuyant dessus sur l'obstacle pour aller plus loin.

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Mark Twain a dit

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il ne savait pas que c'était impossible,

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alors ils l'ont fait.

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