La pyramide de Maslow au travail Tutoriels

Découvrez comment la pyramide de Maslow influence notre bien-être au travail dans "la pyramide de Maslow au travail". Aysseline de Lardemelle vous guide à travers ses cinq niveaux essentiels, de la satisfaction des besoins fondamentaux à l'accomplissement de soi. Un voyage inspirant vers l'épanouissement personnel et professionnel à ne pas manquer !

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savez-vous comment passer de l'étage
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des besoins physiologiques à celui des besoins d'accomplissement,
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voire de réalisation de soi?
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Je suis Eseline de l'ardemel,
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fondatrice d'évolde rapide video learning.
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Je suis ravie de partager avec vous ce
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fabuleux outil qu'est la pyramide de Maslow avec
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un focus plus particulier sur comment répondre à
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ses besoins dans le monde du travail.
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Abraham Maslow est un psychologue américain
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né en 1908,
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considéré comme le père fondateur
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de la psychologie humaniste
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en 1943 dans les années 40,
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il écrit sa théorie de la motivation
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et distingue cinq grands besoins.
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Selon Maslow,
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derrière toute motivation se trouve un de ces cinq grands besoins universels.
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Les cinq besoins sont le besoin de base de la pyramide de Maslow,
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besoin physiologique ensuite nous avons le besoin de sécurité,
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le besoin d'appartenance,
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le besoin d'estime et le besoin d'accomplissement.
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Il est important de savoir que vous n'avez pas besoin de
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combler à 100% un besoin pour passer à l'étage supérieur.
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Selon Maslow,
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le citoyen ordinaire à ses besoins physiologiques comblés à 75%,
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ses besoins de sécurité à 70%,
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d'appartenance à 50%,
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d'estime à 40% et simplement à 10% ses besoins d'accomplissement de soi.
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Cependant,
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les besoins évoluent graduellement,
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lentement au fur et à mesure que les besoins des étages inférieurs sont réalisés.
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Plus ils sont réalisés,
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plus vous allez pouvoir vous ouvrir à d'autres besoins.
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On estime que si votre besoin physiologique est rempli à 40%,
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vous pouvez commencer à développer à l'échelle de cinq à 10% le besoin de sécurité.
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donc une montée graduelle de la pyramide,
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pyramide qui est aussi remise en question par Maslow lui-même à la fin en disant que
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en se rendant compte que selon les sociétés,
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selon les éducations,
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selon les cultures,
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certaines personnes pouvaient privilégier la
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réalisation d'un besoin supérieur de la
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de la pyramide alors qu'un besoin inférieur n'était pas réalisé,
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comme par exemple certains artistes
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acceptant de vivre dans la précarité
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pour pouvoir réaliser et accomplir leur oeuvre.
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D'autres critiques ont été émises vis-à-vis de cette pyramide de
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Maslow qui sont là comme je l'ai dit effectivement,
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le fait qu'il y a une hiérarchie qui est pas toujours acceptée et vécue par tous,
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le fait qu'il manque des données méthodologiques et des preuves
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à l'expérimentation de de Maslow et à la théorie de motivation de Maslow,
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le fait que certains besoins ne sont pas forcément des besoins,
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il s'agit parfois plus de désir ou d'aspiration comme le désir d'estime de soi,
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l'aspiration à l'accomplissement plus qu'un besoin en soi,
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ça lui a été aussi reproché
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et enfin le fait qu'il y a bien d'autres besoins
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et d'ailleurs Maslow lui-même a rajouté le besoin cognitif,
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transcendental et le besoin esthétique
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à sa théorie.
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passons maintenant à la description de ces
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cinq étages de la pyramide d'Abraham Maslow.
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L'étage inférieur sont les besoins physiologiques,
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besoins physiologiques,
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boire,
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manger,
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dormir,
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le besoin de se reproduire,
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reproduire l'espèce pour qu'elle perdure donc besoin de sexualité.
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besoin d'élimination des toxines et des déchets,
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besoin de respirer.
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Tous ces besoins primaires
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physiologiques
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sont les premiers auxquels l'individu,
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l'humain doit répondre,
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ce sont même des besoins qui sont partagés par
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beaucoup d'animaux,
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d'autres espèces et pas simplement l'espèce humaine
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et donc ce seront des besoins auxquels l'instinct,
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l'inconscient,
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l'instinct va répondre par lui-même,
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il va être prêt à
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à tuer pour cela,
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à tuer pour cela ou à se soumettre pour cela.
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pour accepter de répondre à ses besoins parce que s'il ne répond pas à ses besoins,
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l'individu se sent en danger,
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il a un risque avant tout de mourir s'il ne boit pas,
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s'il ne mange pas,
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s'il ne peut pas respirer
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ou un risque de mourir en tout cas au niveau du mental s'il
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n'a pas assez de sommeil ou s'il n'a pas de sexualité,
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il ne risque de devenir fou.
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Donc une des premières préoccupations de l'humain,
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c'est de vivre dans un environnement où il pourra répondre à ses besoins primaires
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et de chercher un travail notamment où il pourra répondre à ce besoin primaire,
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donc un travail qui lui donne une rémunération
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suffisante pour pouvoir boire,
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manger,
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dormir et répondre à ses besoins.
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Il cherchera une vie un monde un travail professionnel qui lui
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permettent aussi à répondre à ce besoin de sommeil qui est primordial
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là on n'est plus de l'ordre de la vie ou de la mort,
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mais plutôt comme je disais de la
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du risque que le mental soit trop déstabilisé s'il manque de sommeil
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et donc un environnement de travail qu'il mette suffisamment
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en sécurité pour ne pas vivre dans l'anxiété,
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dans la dans la terreur,
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dans la peur et dans la colère en permanence.
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Heureusement,
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on est dans un environnement de vie,
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un environnement professionnel qui permet aujourd'hui de
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répondre à ces besoins physiologiques primaires.
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Le second besoin de la pyramide de Maslow,
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c'est le besoin de sécurité.
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On va un peu plus loin,
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on est toujours quand même dans la survie,
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mais un peu plus loin dans la sécurité et la stabilité
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et donc ce sera besoin d'un toit,
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d'un toit pour s'abriter dont donc un salaire qui permette aussi
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de non seulement de se nourrir mais d'avoir un toit,
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de pouvoir protéger son corps
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pouvoir se soigner,
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on est vraiment dans la protection de soi,
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on n'est plus dans le court terme de juste boire,
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manger,
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dormir
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et respirer mais dans une protection de soi
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à moyen
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et long terme donc le mental entre en jeu,
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pas simplement
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l'instinct à ce niveau-là de la pyramide.
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Donc l'humain dans ces cas-là va chercher un
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environnement sécurisant et le plus stable possible,
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le plus stable possible pour le protéger de
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tout changement qui est un risque pour lui,
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le mental prend le contrôle et essaie d'avoir le moindre risque possible,
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le moins de changement possible.
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Donc les personnes qui sont très liées à ce
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besoin et qui qui sont fragilisées par ce besoin
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ont tendance à être inquiète,
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inquiète de ce qui va se passer demain,
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inquiète de prendre des risques,
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inquiète de perdre toute stabilité dans un nouveau changement,
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donc elles vont être souvent résistantes aux changements.
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Il y a aussi le risque qu'elles soient plus de personnes soumises
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si elles sentent qu'effectivement par exemple
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dans leur environnement de travail,
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c'est en disant oui à tout qu'elles pourront conserver
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la stabilité de l'emploi,
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elles seront plus soumises.
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Mais il y a aussi le risque d'être méfiant,
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donc la peur de se faire avoir,
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de se faire manipuler
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euh de par rapport à la hiérarchie,
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est-ce qu'on nous ment,
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est-ce qu'on peut faire confiance
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à l'environnement dans lequel on est,
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à l'entreprise dans lequel on travaille?
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Donc pour faire face à cette tendance à ou soit la méfiance,
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soit la
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la soumission ou soit la l'inquiétude,
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l'anxiété face à l'avenir et aux résistance au changements,
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l'entreprise propose l'entreprise doit proposer un environnement de confiance,
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faire confiance aux dirigeants,
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faire confiance aux décisions.
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un environnement dans lequel on puisse savoir où on va,
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où on est un environnement qui favorise une stabilité de l'emploi,
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un environnement qui protège avec des conditions
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de travail qui protègent avec une convention collective
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qui protège avec le droit du travail qui est respecté au sein de l'entreprise.
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avec peut-être
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euh des syndicats qui vont aussi protéger les salariés,
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donc tout ce qui va être protection,
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stabilité sociale
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va permettre aux personnes qui sont dans des
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risques au niveau de ce besoin de sécurité,
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de se sentir
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en sécurité.
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Passons maintenant au niveau trois de la pyramide de Maslow,
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le besoin d'appartenance,
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c'est le besoin d'exister parce qu'on fait partie d'un groupe,
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on existe aux yeux des autres,
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on est accepté,
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on est intégré.
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Être isolé d'une certaine manière,
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c'est un danger,
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ça fait peur,
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voire ça rend la vie plus inconfortable.
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L'isolement pendant la pandémie a été une grande
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souffrance pour ces personnes qui ont besoin d'un appartenance
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et qui étaient coupées de leur équipe,
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de leur entreprise.
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Donc l'impression d'être intégré et de faire partie de l'entreprise
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du service,
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d'avoir des bonnes relations avec ses collègues va être nécessaire
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d'une certaine manière encore comme le besoin
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de sécurité et le besoin physiologique,
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on parle ici de sécurité,
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la sécurité d'être avec un groupe qui va être par sa présence nous protéger.
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On n'est pas seul face au monde,
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on est avec un groupe face au monde.
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Donc comment l'entreprise peut répondre à ce besoin d'appartenance en
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faisant attention à tout ce qui est risques psychosociaux,
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et il y a bien le mot psycho-sociaux à l'intérieur,
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en favorisant le travail en équipe,
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le travail en groupe,
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voire le travail transverse
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pour ne pas que les personnes soient isolées,
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en favorisant la cohésion d'équipe,
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le team building,
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en favorisant le dialogue,
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l'information
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qui circule,
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le travail en réseau
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et enfin un point primordial pour l'entreprise
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pour répondre à ce besoin d'appartenance,
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c'est de travailler à la lutte contre la discrimination et à favoriser
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l'intégration,
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quel que soit l'âge,
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la couleur de peau,
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le sexe,
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le pays d'origine
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intégrer les collaborateurs pour qu'ils fassent un tout,
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un tout commun et qu'ils puissent travailler au mieux ensemble.
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sachant que dans cette intégration,
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il y a toujours le risque du conformisme,
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donc certaines personnes se soumettent ou se conforment parce qu'elles ont un
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tel besoin d'appartenance qu'elles n'osent pas
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exister en tant qu'individu isolé.
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quatrième étage de la pyramide,
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le besoin d'estime et là on passe vraiment à une dimension différente.
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La personne a répondu à ses besoins primaires,
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elle a assuré sa sécurité,
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sa protection,
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il est temps pour elle maintenant
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d'être quelqu'un,
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être quelqu'un aux yeux des autres
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et donc à cette étape là de la pyramide,
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on a besoin vraiment d'être reconnu
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en tant qu'individu unique
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pour ses compétences,
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pour euh ses
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ses possessions,
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parfois pour ce qu'on est
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donc être reconnu,
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avoir du feedback
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et voir dans le m
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des yeux des autres qu'on est quelqu'un et dans son propre miroir.
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C'est là où se construit l'estime de soi à travers les réalisations personnelles,
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à travers les actions personnelles.
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Comment une personne peut sentir de l'estime de soi à travers son
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son travail déjà être dans une entreprise dont elle est fière,
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qu'elle puisse dire je travaille dans telle entreprise,
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avoir un titre,
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un poste dont elle est fière,
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pouvoir dire
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je fais tel métier,
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reconnaissant ce travail par les augmentations,
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les primes,
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reconnaissant ce travail par
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les promotions
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la
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la carrière reconnaissance au travail par un
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feedback positif qui nous sera donné et régulièrement
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et les entreprises cherchent à développer
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cette culture du feedback se rendant compte
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comme elle est comme elle donne de la motivation pour tous les collaborateurs,
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comme elle est positive
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dès que quelqu'un reçoit un feedback négatif et
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notamment un feedback négatif devant tout le monde,
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sa confiance en soi est ébranlée,
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sa motivation est ébranlée,
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on a vraiment l'étage,
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l'étage de ce besoin d'estime de soi qui est ébranlé totalement.
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Donner de la reconnaissance pour l'entreprise,
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c'est montrer aux collaborateurs qu'il existe
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pas simplement en tant que ressource,
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en tant que moyen
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et donc c'est l'écouter,
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le consulter,
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faire du management participatif,
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lui donner de l'autonomie,
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de l'indépendance,
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créer avec lui,
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construire avec lui.
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À cet étage de la pyramide et de du besoin d'estime de soi,
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le mental ne cherche plus simplement à être protégé,
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à être connu,
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mais même à avoir plus de bien-être.
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le bien-être va être et la satisfaction,
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l'épanouissement va être une preuve
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de la réussite.
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Certaines personnes sentiront la réussite et gagneront une
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estime de soi à travers ce qu'elles ont
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avoir un bon salaire,
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avoir une maison avec une piscine,
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avoir sa propre entreprise,
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avoir un QI élevé,
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avoir une beauté physique,
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donc à travers ce que j'ai,
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je peux avoir de l'estime de moi et
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retrouver dans le miroir du regard des autres une bonne estime de moi.
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d'autres personnes le chercheront plus à travers ce
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qu'ils font ou à travers ce qu'ils sont,
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ce qu'ils font ça peut être j'ai créé ma boîte donc je suis quelqu'un,
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donc j'ai de l'estime de moi ou j'ai un poste qui me
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qui me valorise
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ou je fais quelque chose pour pour aider le monde où je mange,
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je mange bio ou je fais de la méditation ou euh ou
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je travaille pour telle organisation donc à travers ce qu'ils font,
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ils se sentiront valorisés positivement.
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En fonction de nos valeurs,
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notre mental va nous valoriser
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et c'est vraiment l'idée de la valeur,
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la valeur nous donne de la valeur,
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donc si vous avez une valeur de générosité,
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si vous y répondez
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dans ce que vous faites ce que vous vivez,
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ce que vous donnez même dans le travail
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auquel vous avez décidé de de vous allouer.
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si cette valeur générosité est répandue vous sentirez de la valeur,
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si votre valeur est plus la richesse,
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ce sera ainsi que vous sentirez reconnu
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et valorisé
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et donc votre mental vous donne des notes,
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se donne des notes en fonction de est-ce qu'on a ou pas répondu
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à nos valeurs.
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D'une certaine manière quand on est à cet étage
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de la pyramide de besoins d'estime de soi,
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c'est là que l'aventure vraiment commence,
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on n'est plus simplement à chercher à se protéger,
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on se projette,
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on se met en mouvement,
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on se met en action,
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on est prêt à faire un peu d'introspection pour être au contact avec ses valeurs,
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ses besoins,
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même s'ils ne sont pas toujours conscientisé
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et on est prêt à prendre des risques,
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à se mettre en mouvement pour ça.
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C'est là qu'on commence à créer des choses,
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à réaliser des choses,
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+1 personne cherche à répondre à son besoin d'identité,
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d'estime de soi,
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plus elle va se donner des objectifs
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et elle va chercher à changer sa vie
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et plus donc elle se met en mouvement et ce mouvement est
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permanent au fur et à mesure que les les valeurs évoluent,
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elles vont changer
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et on aboutit souvent dans ces cas-là,
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dans cette dans cette étape-là à des changements de carrière,
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à des changements de valeurs,
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à des changements d'objectifs.
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cinquième étage de la pyramide,
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le besoin d'accomplissement de soi.
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On n'est plus dans un besoin d'égo,
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dans un besoin totalement contrôlé contrôlé par
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le mental de je veux être quelqu'un,
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on est plus dans je veux accomplir quelque chose,
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donc le regard se décentre de soi,
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de son égo,
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de son miroir
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qui nous a amené à nous mettre en mouvement donc
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c'était positif et à prendre des risques et à avancer
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et se donner des objectifs,
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là on se focalise sur quelque chose généralement de plus grand que
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soi qui nous dépasse et qui nous aide à nous dépasser.
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Et donc on parlera de d'alignement à qui on est,
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à des valeurs qui sont plus des valeurs
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d'inspiration que des valeurs de réussite
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comme
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donner,
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euh transmettre,
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chang changer le monde,
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innover,
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créer donc des valeurs qui sont qui nous transcendent et qui nous aident à
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aller plus loin et qui nous amènent vers une raison d'être ou une mission,
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un sens à notre vie.
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et ce sens,
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cette aspiration à l'accomplissement
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nous nous nous permet et nous force d'une certaine manière à nous développer,
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à développer notre potentiel,
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à aller au-delà de nous-mêmes,
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à apprendre de nouveau,
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donc ces personnes généralement dans ces besoins,
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elles ont elles ont beaucoup de curiosité,
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elles ont une envie d'apprentissage,
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d'aller vers d'autres domaines,
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de découvrir d'autres choses,
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de voyager,
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de créer
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comment l'entreprise répond à ce besoin d'accomplissement en veillant
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au bien-être et à l'épanouissement de ses salariés,
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de ses collaborateurs,
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en leur proposant un travail gratifiant,
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un travail qui les comble,
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un travail intéressant et pas simplement un travail routinier,
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en leur donnant beaucoup plus de marge de manoeuvre dans le processus décisionnel,
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en leur demandant leur avis,
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en leur permettant de fixer eux-mêmes leurs objectifs
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en leur permettant d'avoir des initiatives,
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d'innover,
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de changer les choses.
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L'entreprise à ce niveau-là doit accompagner les
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collaborateurs pour qu'ils développent leur potentiel,
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pour qu'ils se développent,
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pour qu'ils se forment donc leur ouvrir un grand panel de de formation,
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les accompagner dans leur recherche de carrière
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avec l'entretien professionnel tous les deux ans qui va
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être important pour savoir où ils ont envie d'aller,
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où ils ont envie de se développer dans l'avenir.
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Et enfin pour donner un sens,
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les entreprises de plus en plus développent leurs valeurs,
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des valeurs,
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une raison d'être de l'entreprise,
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un sens,
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une mission de l'entreprise qui plus elle est en adéquation
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plus va permettre aux collaborateur d'être lui-même dans son accomplissement.
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certains types d'entreprises aujourd'hui remettent l'humain au centre,
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l'humain dans son développement et dans
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son épanouissement comme l'entreprise libérée,
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la sociocratie,
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la lococratie,
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les entreprises apprenantes,
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toutes ces formes d'entreprises
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jouent et oeuvrent
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à l'accomplissement du collaborateur et la réussite et la performance bien sûr,
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mais les deux allant de pair.
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Abraham Maslow a dit la société parfaite
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et la société dans lequel
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la possibilité de réalisation de soi,
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d'accomplissement de soi est offerte à tous les individus.
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et c'est la base et heureusement aujourd'hui dans notre société,
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la base des besoins physiologiques sont normalement répondus à 100%.
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Les autres besoins dépendent de notre
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environnement professionnel et l'entreprise comme on l'a
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vu à la main dessus mais aussi dépendent de notre propre réalisation,
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de notre travail sur soi,
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de notre ouverture,
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de notre capacité à nous développer,
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à grandir,
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à changer.
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Quand on est arrivé à à 100% j'allais
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dire de l'accomplissement du besoin d'accomplissement de soi,
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on passe dans une autre dimension,
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une dimension dans laquelle on n'a plus besoin d'accomplir quoi que ce soit
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et dans cette dimension finalement on met de côté tout
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ce qui a nourri les étapes précédentes de recherche,
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d'estime de soi et de mission avec avec des objectifs,
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avec des efforts avec de la discipline
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dans cette étape-là,
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il n'y a plus d'accomplissement,
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il n'y a plus
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d'objectifs,
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d'efforts,
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de discipline,
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il faut que je fasse mon yoga tous les matins ou ma méditation ou de besoin de coach,
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de mentor,
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d'académie,
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on arrive à un niveau de telle déjà sécurité intérieure,
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donc on n'a plus besoin de répondre à ces besoins de sécurité,
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on l'a à l'intérieur,
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plus besoin d'appartenance
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étant donné qu'on se sent suffisamment en sécurité,
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en étant en interaction avec les autres,
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mais on n'a pas besoin d'app
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tenir à un groupe,
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plus besoin d'égo et de miroirs,
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de réussite en disant je suis quelqu'un,
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je m'estime parce que j'ai ça ou j'ai fait ça,
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on a une confiance une estime de soi nécessaires et plus besoin
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d'accomplissement et de mission
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et là on passe vraiment à une autre dimension
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de la dimension de la réalisation de soi,
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où on est simplement soit
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dans l'expérience à savourer
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l'expérience de lycée maintenant sans but,
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sans besoin.
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à cette étape là,
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le mental ne dirige plus notre vie.
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Il n'a plus besoin de nous protéger contre des soi-disant dangers.
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Il n'a plus besoin de faire en sorte que nous croyons quelqu'un.
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Il n'a plus besoin de nous donner une mission
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qui nous dépasse et qui nous fasse exister.
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On est juste dans le je suis ce que je suis.
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Le mental n'a plus d'objectifs.
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En tout cas,
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s'il nous les donne,
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nous sommes plus grands que ces objectifs et nous pouvons décider oui ou non
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l'expérience,
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nous avons envie de vivre
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et c'est une étape donc d'accomplissement total de soi,
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de réalisation de soi,
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on est à 100% dans du lâcher prise
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à 100% dans une forme d'abondance parce que dans
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cette dans cette étape-là finalement on a l'abondance,
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l'abondance financière,
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l'abondance de santé,
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l'abondance de créativité
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et la liberté.
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C'est l'étape que je souhaite à tout le monde.
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Nous avons donc vu les cinq étages de la pyramide de Maslow,
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l'étage un,
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le besoin les besoins physiologiques,
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les besoins de sécurité,
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les besoins d'appartenance,
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les besoins d'estime de soi,
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d'identité et enfin le besoin d'accomplissement
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qui est dépassé,
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surpassé ou à 100% d'accomplissement par le
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la réalisation de soi qui est le dépassement de tous les besoins finalement.
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Je vous invite à vous poser la question sur
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à quel étage de la pyramide vous vous situez
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et plus qu'à quel étage,
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comme je l'ai dit au début,
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à quel pourcentage chaque besoin est réalisé et quels
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sont les besoins que finalement vous avez dépassé.
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Peut-être que vous voulez vous allez
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vous dire qu'aujourd'hui le besoin d'appartenance
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cette protection en faisant partie d'un groupe n'est +1 besoin pour vous ou que
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le besoin de sécurité dans la stabilité de l'emploi n'est +1 besoin pour vous.
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Vous sentez suffisamment confiant pour oser changer
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de travail ou quitter votre entreprise,
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même si vous n'êtes pas sûr du travail que vous aurez demain.
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Donc à quel étage vous vous situez,
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comment vous avez rempli ses besoins et vous
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posez la question peut-être pour votre famille,
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vos collègues,
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votre hiérarchie,
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votre entreprise où est-ce que vous pensez que se situent
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ces besoins.
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Sachez donc effectivement la pyramide est très
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utilisée dans le monde de l'entreprise,
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dans le monde du marketing aussi pour situer un produit par rapport aux besoins
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des consommateurs autour de vous.

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